Pertacus
Nombre de messages : 2 Localisation : Sur les chemins Charge dans l'Eglise : Aucune Date d'inscription : 11/10/2015
| Sujet: Ca hérisse le poil , l'arrivé d'un moustachu Dim 11 Oct 2015 - 18:46 | |
| Un départ de la France , ou plutôt , une fuite. Le Comte avait fuit la France n'ont pas qu'il n'aimait plus ce pays mais il n'en pouvais plus de l’incompétence des dirigeants. Une guerre aux trop nombreuse erreur et des insultes a son encontre l'avait décider a tout envoyer balader et laisser la connétablie dans les problèmes et ne plus s'en soucier
Le Moustachu était donc partie sur une terre neutre loin d’être réputé pour sa foi aristotélicienne, la Suisse. Il avait traverser Genève , terre de nombreuse croisade et beaucoup de souvenir lui était revenu de son dernier passage avec l'armée la Dona de Leyah et les Chevalier Teutonique dirigée par Vonafred. Quelque rencontre avait suivit , une prise de contact avec Monseigneur Arnarion , un peu de temps pour faire connaissance et le moustachu s'embarquait dans une nouvelle aventure. La compagnie de Constantin avec l'ordre Thomiste
Il arriva enfin a l'abbaye de Clermont et se présenta a l'entrée
-Bonjour , Pertacus de Montbazon Navailles , Monseigneur Arnarion m'a demandé de venir pour intégrer la Compagnie de Constantin | |
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Tom Frère Hôtelier
Nombre de messages : 1 Localisation : Ici Charge dans l'Eglise : Concierge Date d'inscription : 12/10/2015
| Sujet: Re: Ca hérisse le poil , l'arrivé d'un moustachu Lun 12 Oct 2015 - 14:20 | |
| Un craquement du bois puis le hénissement du métal. La lourde herse se leva peu à peu afin de laisser à l'immense porte l'espace de s'ouvrir. Une tête vint à passer dans l'entrebailement, scrutant le nouveau venu. Le Frère-portier - on pourrait tout aussi bien dire concierge - était un pauvre ère un peu brute, simple d'esprit, sourd d'une oreille et bossu. Il était là depuis des années, personne ne savait d'où il venait ni même où il dormait dans l'Abbaye. Après des années d'enquête, les frères avaient finit par laisser tomber et le laisser tranquille. Connaissant les moindres recoins de l'immense batîment abbatiel, il était devenu, depuis, une sorte de gardien des clés. C'est pour quoi ? C'est pas le jour du marché aujourd'hui !Il s'approcha de lui lentement. Qu'est-ce qu'il veut ?! ... M'seigneur Arnarion ? Il est attendu ? ... Bon, il me suit ! Il lui fit signe de sa grosse patte de le suivre.Il se tourna vers les gardes. C'est bon, c'est bon. Il guida le visiteur jusqu'au bureau de Recteur tout en grommelant le long du chemin. | |
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